2008-09-23

MARCELLE FERRON

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Lecture du livre « Autour de Marcelle Ferron », de Gaston Roberge, 1995, Loup de Gouttière (Québec)

Quelques extraits marquants:

« Borduas commentait en ces termes: "...une forme en appelle une autre jusqu'au sentiment de l'unité, ou de l'impossibilité d'aller plus loin sans destruction ». (p.12)

« [...] Pour atteindre ce "sentiment de l'unité", le peintre doit maintenir l'équilibre entre la spontanéité et la recherche esthétique. » (p.12)

« Je n'aime pas la peinture, j'en fais. C'est pas pareil. En voyage, j'aime aller au musée pour voir de la peinture, mais ça c'est différent, c'est de la culture. J'aime mieux la musique ou la littérature. Tiens, si j'avais eu le choix, j'aurais peut-être été écrivain... mais à côté des mots, la couleur c'est puissant... Et puis c'est vite dit ! » MF (p.22)

« Ferron ne peint pas pour les collectionneurs, des galeries ou des musées. Elle peint pour combler sa passion et pour le plaisir du public. Elle est récompensée quand le public a aimé, qu'il ait acheté ou non ». (p.50)

ET

Lecture du livre « Marcelle Ferron », rétrospective du Musée d'art contemporain de Montréal, 2000.

Quelques extraits marquants:

« Marcelle Ferron a toujours été dans la ligne de cet automatisme-là où, comme l'avait écrit Claude Gauvreau "l'auto-critique ne précède pas le geste, mais le suit" ». (p.32)